Ni médecin, ni psychiatre, l’hypnopraticien ne fait pas de diagnostics, ne soigne pas et ne guérit pas. L’hypnothérapie s’inscrit dans la relation d’aide, hors cadre médical et réglementé.
Elle ne se substitue donc en rien à tout acte ou traitement médical dont elle peut être complémentaire dans le cadre de l’abandon d’un comportement gênant, atténuation de la perception de la douleur ou d’un trouble gênant.
Cette technique, souvent associée à d’autres comme la Programmation Neuro-Linguistique (PNL) ou l’Intégration par les Mouvements Oculaires (IMO), peut intervenir à 2 niveaux :
> Elle peut être envisagée en première intention sur des troubles ne résultant pas d’un dysfonctionnement physiologique : les phobies, l’anxiété, l’arrêt du tabac …
> Elle peut constituer une prise en charge complémentaire à des traitements conventionnels nécessaires et ne pouvant être interrompus (gestion de la douleur aiguë, induite ou chronique, syndromes dépressifs…).
